Dôjô party

18 janvier 2007

Intrigue de poursuite jusque dans une cathédrale déserte dont le fond est surélevé comme une falaise haute de quelques dizaines de mètres. Aucune rembarde ne sécurise l’étage, ce qui me fait penser que bien mauvaise idée prendrait les paroissiens de se pencher de trop près pour écouter le sermon. Je sors par le flanc qui donne sur de raides ruelles, armé dans chaque main de bâtons métalliques faisant office de cannes, enfin c’est surtout très casse-gueule.Retour à l’intérieur, pendant que les gens s’installent sur le balcon, une incartade oppose une femme et son probable légitime époux qui commet l’affront de venir avec une autre dans ses bras, qui plus est, en robe de soirée !

Une immense fête est organisée dans l’immeuble familial. Les parents, oncles et tantes reçoivent leurs amis sur plusieurs étages et en ont laissé un à disposition de ma cousine, pour une réception un peu plus djeuns. Elle court dans tous sens pour s’assurer que la programmation sera parfaite. A côté de nous dans un des apparts, un si mignon couple de garçons s’embrasse. Puisque pas mal de monde est arrivé, ma cousine décide d’ouvrir une immense salle matelassée comme un dojo, et dont les pilliers sont gainés de mousse. Ouah ! On va trop pouvoir faire la fiesta ! Instantanément on court, on crie, on hurle, on pogote, ça va déchirer ! Comme par appel d’air, des tas d’autres individus accourent pour participer. Quittant les lieux pour inspecter les autres appartements de l’étage, je tombe sur des ébats entre 3 beaux mecs pas tout à fait dans leur état normal. Ils ont dû se droguer et ne semblent pas sortir couverts. Je crois reconnaître l’ancien meilleur ami acteur de mon ami tatoué. Parmi d'autres gens tout aussi ravagés traîne Joey Starr par terre, hilare, qui n’a rien à envier aux autres pour les substances absorbées. Il a beau rire allongé, j’espère qu’il ne lui prendra pas l’envie de me casser la gueule quand je l’enjambe pour regagner la sortie vers la fête initiale. Pourvu qu’ils ne viennent pas gâcher notre soirée ! A la porte une femme sonne pour chercher son enfant. Je l’invite à entrer pour le récupérer franco, nous on est plus fréquentables.