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27 août 2006

Rest in peace, Dad & Mom

C’est parti pour une vadrouille en voitrure avec la famille. Pas de bol, nous traversons un quartier mal famé, du moins, la concentration en flics tend à nous prouver le contraire. Et si nous quittions les lieux avant que quelque Revolver_1_chose de malheureux ne se produise ? Trop tard ! Sous nos yeux déboule un homme armé en poursuivant un autre sans défense. bullethd_1_Arrivé à sa hauteur, il lui tire une balle dans la tête à bout portant ! Aaah, mais quelle horreur ! Damned, il nous a répérés ! Une salve de tirs s’abat dans notre direction. Que tout le monde se baisse ! L’agresseur prend la fuite. Est-ce que tout le monde va bien ? Oh non, papa ! maman ! Tous les deux ont reçu une balle dans le front. C’est pas vrai, qu’est-ce qu’on va devenir sans eux ?! Mes frères et moi sommes l’instant suivant allongés dans un lit aux côtés des dépouilles des parents, à les pleurer. Je suis seul l’instant d’après, me réveillant en larmes dans le même lit. Le poids du chagrin me pousse à écrire une lettre en hommage à mes défunts géniteurs. Dans la confusion je réalise alors que tout ceci n’était qu’un rêve. Ça aurait pu être pire : l’ami virtuel de Perpignan subitement présent me raconte avoir vécu le même genre de songe suite auquel il a rédigé une lettre à ses parents… mais qu’il la leur a envoyée avant de saisir sa gaffe. Ils auraient pu mal le prendre mais ils se sont contentés de lui renvoyer sa missive en se moquant de lui, avec des commentaires qu’on fait à un enfant de 6 ans. L’ami de Perpignan en petite tenue est drôlement affriolant. Il me présente une amie avec qui il a convenu de faire un enfant dans 10 ans. Mais, ne sera t-il pas trop vieux pour ça ?

Scène de cérémonie de fête chez ma cousine à l’occasion de son remariage. Elle a l’air si détendue, forcément, maintenant qu’elle connaît le rituel…

De retour au collège, je vais m’abriter dans une étroite voûte de béton, bouleversé par l’idée d’avoir été si mal entouré à l’époque. Max, Seb ! Cassez-vous ! Laissez-moi tranquille !

Escorté de mon bien-aimé pour voir une expo, l’hôtesse remarque mes lourds sacs, et me précise que je dois les laisser au comptoir.Entendu, je les dépose dans une commode blanche, dont les étroits tiroirs sont plus profonds une fois ouverts. Ah j’ai oublié de prendre quelque chose. Mais c’était quel tiroir ? Me démenant pour m’y retrouver, ma vision se trouble. Chéri me presse alors je me lache et me met à le traiter de crétin, lui, toujours à se plaindre, jamais à aider !

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