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30 août 2006

Ça suffit les Connery !

C’est en cavalier solitaire que je suis venu tester le célèbre bar « Les 2 tours ». L’ambiance festive me fait oublier le nombre de verres avalé, si bien qu’au moment de partir, vision et équilibre me font défaut. connery99_1_Je manque de faire une chute mortelle là où les marches vers l’étage supérieur sont trop éloignées du pallier, si Sean Connery, mon amour de toujours, n’était pas venu pour me sauver. Ah Sean, mon magnifique, mon providentiel, que ne ferais-je sans toi ? Nous nous aimons depuis toujours mais nous ne devrions pas, tu as l’âge de mon père ! C’est à ce moment que je me souviens être aussi sorti avec son fils. Mais au fait, et mon bien-aimé dans tout ça ? Je finis par me dire qu’il y aura toujours une place pour les Connery&fils dans ma vie. Sean me prie de le rappeler en partant. Sortant de l’établissement, je découvre un quartier brésilien de nuit quasi désert. Des enfants pauvres veulement me voler des affaires. Des charbons bleu noir ont plu sur les inquiétantes habitations en ruines. Est-ce la fin du monde ? Je m’envole à la brasse pour avoir une meilleures vue des toitures, bien conscient que si je peux faire ça, c’est parce que je dois être en train de rêver. teeth_1_Les toîts sont devenus une immense surface d’eau où plonge et sautille une créature mi-requin mi-dauphin venue dévorer les gens à même leurs chambre. Inutile de paniquer, c’est un rêve ! C’est un rêve ! Facile à dire quand les mâchoires acérées du prédateur se rapprochent de plus en plus menaçantes ! Fuir à la nage dans l’air s’avère peu efficace. Je décide de me réveiller qand la boucher du carnassier n’est plus qu’à quelques centimètres de moi, me coinçant contre un mur. Rien de plus simple : je déchire la bâche plastique qui était le mur il y a 2 secondes, pour passer de l’autre côté et me réveiller dans le lit auprès de mon bien-aimé. Chéri, j’ai fait des rêves fabuleux, il y avait Sean Connery, l’apocalypse, un requin, moi nageant dans les airs… Il me répond avoir été aussi oniriquement prolifique… C’était surtout très cochon. D’ailleurs il a souillé ses draps, le coquin !

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