Orgie océanique

Séquence de torture sur Charly de Lost dans une intrigue qui m’échappe. Tout ce que je sais c’est qu’il n’a pas d’autre choix que de toucher cette colonne électrifiée enrobée dans un grillage. Pauvre gars ! Il est têtu et s’y prend à plusieurs fois !

Un paysage de plage avec une eau bien chaude. Avec quelques autres personnes, nous décidons de nager vers l’océan munis de bouées pour découvrir les côtes aux alentours. A peine avons-nous commencé que je remarque en me retournant, que nous sommes déjà à des kilomètres du rivage ! On ne voit même plus la terre ! Nous arrivons au niveau de rochers où d’ilôts émergeant de l’eau, où des tas de beaux jeunes gens bronzent et s’amusent. Je constate qu’un peu partout traînent des sachets de préservatifs négligemment abandonnés, un peu comme pour qu’il y en ait toujours sous la main. Ah j’ai compris : c’est un lupanar isolé en haute mer. Dire qu’ils ont nagé jusqu’ici sans bouées, et ils trouvent encore la force de forniquer ! Chapeau ! Un peu plus tard j’ai regagné une autre plage. Je dois reglonfler ma bouée là où j’ai encore pied, ce serait risqué sinon.

Décor de village où je dois retrouver l’ami royal, l’ami du Trésor et son amour breton. Le long d’un cours d’eau sont disposés des boxes comme dans un train fantôme, où les gens attendent une navette fluviale où monter. Elle est si petite que tout le monde n’y montera pas. C’est toujours les premiers boxes qui sont servis ! Quelle injustice ! Sur un pont de bois je croise l’ami historien militaire que j’avais perdu de vue. Il me raconte avoir rencontré l’ami royal avec des arrières-pensées mais ils ne se sont pas entendus sur un point : la musique. Le militaire a trouvé l’ami royal trop modeste alors que la musique, c’est le métier de ce dernier. Bah… c’est dommage que ça tienne à si peu de choses.