Comme t’y es bonne, cousine

Ma cousine vient à la maison familiale pour nous rendre une petite visite. Je sais qu’elle s’ennuie un peu avec son homme dont il est assez évident qu’il va courir la gueuse de son côté. Nous convenons donc de pallier à son insatisfaction sexuelle en couchant ensemble. J’ai beau préférer les mecs, je n’y vois pas d’inconvénient, d’autant qu’entre cousins, légalement c’est pas un inceste, et puis ça restera entre nous, et puis c’est que physique. Côté technique, elle est si douée. Quel panard sur l’oreiller ! Ah que les délices buccaux prodigués sont intenses, si puissants que l’ascension au 7ème ciel se dessine avec détermination. Mais pfiou, du contrôle bon sang, je veux pas céder si vite ! Il faut se ressaisir pour prolonger avec d’autres plaisirs dans d’autres postures. Le missionnaire est terriblement bon aussi. Je me découvre des dispositions insoupçonnées pour le pilonnage. Evidemment on entre sans frapper, sans pour autant nous prendre  en flagrant délit, puisque nous avons le temps de nous rhabiller instantanément. Pfff on peut jamais être tranquilles ici ! Nos ébats reprennent une ou deux fois avec des interruptions du même type. C’est pas grave, on aura d’autres occasions. Je repense à la manière dont on cachera ces savoureux extras. D’ailleurs désormais je pourrais clamer fièrement avoir aussi goûté aux femmes, mon indice de pureté va chuter, gnark gnark gnark... 
La maison familiale se met à être envahie par les fourmis. Des centaines, grouillantes, énormes comme des rats pour certaines, noires, qui veulent sortir sur le jardin mais viennent se perdre jusque sous les vêtements. Pourvu qu’elles ne décident pas de mordre ou s’essayer à l’anthropophagie ! Les sentir grimper sur mes bras et mon dos à même la peau me répugne au plus au point. J’ai beau les faire tomber du revers de la main, il y en a trop. La seule solution c’est de les enfumer… Mais comment s’y prendre sans mettre le feu à toute la baraque ?

Vision d’un dessin animé fabuleux qui démarre avec une jeune fille dans son séjour, endormie sur sa table basse. Elle ressemble à Tsukiko Sagi dans Paranoia Agent. L’ambiance calme cède vite sur un tourbillon de péripéties qui fusent dans tous les sens. Un monstre sauve la somnolante du suicide. Il a un corps étoilé avec un visage grognon, créature de fumée ou de lumière phosphorescente, avec une multitude de bras et encore plus de griffes tranchantes.