Dances with lesbians

Farandole de combats sanglants et peut-être familiaux où une griffe terrible pourfend les corps en deux. Il faut remonter le temps pour échapper au supplice. Encore et encore, jusqu’à la nuit des temps. Les 3 assassins sont des magiciens : un petit garçon, une petite fille, et un petit robot. Surtout ne pas se fier à leur allure gentille si l’on tient à son intégrité physique.

Ma prof de biologie de lycée nous mijote un contrôle d’anglais délocalisé : nous avons rendez-vous dans une salle communale louée particulièrement difficile à trouver. J’arrive à bon port et à l’heure, en plein tournage d’une émission où une lesbienne brune moustachue se fait interviewer. Ses vêtements baba cool sentent les années 70. Elle parle d’ailleurs des danses pratiquées à l’époque, dont elle va justement faire une démonstration avec le journaliste pour partenaire ! Et c’est un ravissant ballet moderne et acrobatique qui s’offre en spectacle, mêlant plongeons avec roulades, pas de capoeira, rock acrobatique. Agile comme une panthère, elle nous en met plein la vue.
Dans la rue voisine, une scène digne d’une pub Whiskas a lieu. Un chien et un chat confectionnés en pâte brisée farcie à la saucisse Herta se promènent comme deux gentils compagnons de route.